Le Seigneur est proche
L’Évangile de Luc met en relief la grâce de Dieu, comme nous le voyons notamment dans les paraboles que le Seigneur donne dans les chapitres 14 et 15. “La grâce de Dieu qui apporte le salut” est apparue dans le monde lorsque le Fils éternel est devenu chair (Tite 2. 11 ; Jean 1. 14). Dieu est intervenu en grâce dans ce monde : quelle raison de se réjouir ! Bientôt le Seigneur Jésus viendra “en flammes de feu, exerçant la vengeance sur ceux qui ne connaissent pas Dieu” (2 Thessaloniciens 1. 8).
La première fois cependant, il est venu pour sauver. C’est à d’humbles bergers que l’annonce de la venue du Fils de Dieu dans le monde a été faite en premier. Comme cela convenait bien ! Il ne venait pas encore avec puissance et gloire, mais comme Celui qui était humble, rempli de bonté (Matthieu 11. 29), et comme étant lui-même le bon Berger de ses brebis (Jean 10. 11, 14).
L’ange n’était pas seulement venu annoncer qu’il y aurait de la joie, mais “un grand sujet de joie”. Le Sauveur était venu ! L’Évangile de Luc commence et se termine aussi avec la pensée de cette “grande joie”. Une grande joie lors de son incarnation, et une grande joie lors de sa résurrection et de son ascension (Luc 24. 52). La venue du Fils de Dieu est pour tous un sujet de grande joie. Pas seulement pour la nation juive, car il était venu pour être le Sauveur de tous !
Nos cœurs devraient se réjouir de savoir que
Ce salut est encore offert aujourd’hui. Vous êtes-vous confié(e) dans le Sauveur ?