Si le mari ne goûte pas la communion avec son Père céleste, comment va-t-il la faire partager à sa femme et à ses enfants ? Mais qu’il est bon de marcher avec le Seigneur ! Notre épouse et nos enfants le remarqueront, ils en seront fortifiés et se sentiront en sécurité. Il est vraiment important d’être en communion constante avec notre Père céleste. Si nous le faisons, nos enfants le verront et seront bénis à leur tour.

Lorsque nous avons commis une faute, si nous la confessons au Seigneur puis à nos enfants, ils nous regarderont et ne penseront pas du mal de leur papa ; cela les amènera plutôt à penser : quelle attitude remarquable ! – Laissez-moi vous demander, mes frères, en tant que chefs et exemples dans le foyer : êtes-vous capables d’aller voir votre femme, ou votre enfant, pour leur confesser votre erreur et leur demander pardon ? – Nous le pouvons si nous marchons avec le Seigneur. Remarquons que si nous étions en communion constante avec Dieu, la faute n’aurait pas eu lieu. Le remède est de demander d’abord au Seigneur de pardonner (purification verticale), puis il faut aller vers son conjoint ou son enfant et lui demander pardon (purification horizontale). La communion avec le Seigneur, puis avec la famille, sera restaurée.

Cet acte enseignera aux enfants que même leur père est responsable devant Dieu ; il montrera aussi qu’une attitude pieuse est nécessaire pour maintenir la communion dans la maison, à la fois avec le Seigneur et avec les membres de la famille.

Nous devons réaliser l’importance de cette communion à cultiver personnellement avec le Seigneur, entre nous dans la famille et aussi avec nos frères et sœurs dans la foi. Nos associations avec les autres sont importantes ; elles ont un impact sur notre vie avec le Seigneur, personnellement, en famille et collectivement, en assemblée.