Le Seigneur est proche
C’est un mensonge qui a détourné Adam et Ève de Dieu et a causé leur chute. Bien des années plus tard, le psalmiste a eu devant lui les mensonges du diable et de ceux qui l’écoutent – et nous les avons aussi. Le psalmiste avait décidé de ne pas se laisser prendre par eux ni de les attaquer. Il trouvait plutôt de l’aide dans la prière, en mettant sa confiance dans l’enseignement de Dieu.
Hénoc faisait partie de la septième génération depuis Adam. Il vivait avant le déluge, dans des jours difficiles marqués par la violence et la corruption (Genèse 4-6). Ces jours ressemblent aux nôtres à bien des égards, mais Dieu a enseigné Hénoc lorsque cet homme marchait avec lui (Genèse 5. 21-24). Son nom signifie initié ou dédié, ce qui implique qu’il était d’accord d’être enseigné. Dieu l’a formé de différentes manières, et il est devenu le premier prophète qui a parlé des derniers temps (Jude 14, 15). Il a parlé de la part de Dieu de choses qui, alors, étaient futures, et sont encore à venir. Hénoc peut donc être un exemple pour nous de la bonne attitude à avoir face au monde : ne nous occupons pas de lui, mais vivons plutôt dans la vérité de Dieu, ce qui est le meilleur moyen de nous tenir éloignés de “la voie de mensonge”. Mais gardons-nous aussi de mentir au monde : il doit entendre, de notre part, qu’il sera jugé.
Au lieu de manifester de la violence et de la corruption comme ses semblables, Hénoc marchait avec Dieu et laissait la société à la responsabilité de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’il était indifférent à l’égard des personnes qui l’entouraient, mais il leur indiquait que le jugement de Dieu était sur le point de venir. Il les a averties que Dieu introduirait un nouveau monde par le jugement, tout comme Noé l’a fait plus tard.
Le monde qui a crucifié notre Seigneur est sous le jugement de Dieu et ne peut pas être amélioré. Animé par le diable, “le père du mensonge” (voir Jean 8. 44), il mentira toujours. Mais Dieu souhaite emmener encore beaucoup de personnes hors de ce monde avec nous, croyants, quand Christ viendra (1 Thessaloniciens 4. 14-18).