Le Seigneur est proche
Ces “nombreuses demeures” sont dans la maison du Père. L’accueil d’un Père nous attend à la place préparée pour chacun de ses enfants. Des millions de croyants sont déjà dans le paradis, prêts à entrer dans ces demeures – des patriarches, des prophètes, des martyrs, des croyants jeunes ou plus âgés – et il y a encore de la place pour d’autres ! “Nous n’avons pas ici de cité permanente, mais nous recherchons celle qui est à venir” (Hébreux 13. 14) – tel est notre mot d’ordre.
Quand notre Seigneur bien-aimé est venu pour la première fois, c’était dans l’humiliation et la honte, mais bientôt il “apparaîtra une seconde fois, sans avoir à faire avec le péché, à ceux qui l’attendent, pour le salut” (Hébreux 9. 28). Qui peut concevoir l’immense bénédiction liée à cet événement ? Notre Seigneur a donné cette promesse : “Celui qui vaincra, je lui donnerai de s’asseoir avec moi sur mon trône” (Apocalypse 3. 21).
Qu’ils sont nombreux ceux qui, au moment du départ pour le ciel, ont été réjouis et consolés en pensant à ces glorieuses demeures qui sont devant nous ! La mort ouvre le chemin pour entrer dans cette maison et dans la place que le Seigneur a préparée pour nous, mais la mort n’est pas notre espérance. D’ailleurs tous ne passeront pas par la mort pour y entrer. Notre espérance, c’est la venue du Seigneur pour nous chercher. Nous attendons “la bienheureuse espérance et l’apparition de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ” (Tite 2. 13). C’est lorsqu’il viendra nous chercher que les morts seront ressuscités, les vivants transmués, et que tous ensemble, ayant revêtu des corps semblables au sien, nous serons introduits dans ces demeures de la maison du Père (voir 1 Thessaloniciens 4. 15-17 ; 1 Corinthiens 15. 51-55).