Le matin, avant de quitter la maison, n’écourtons jamais notre moment de rencontre avec Dieu.

Plus nous prions, plus nous découvrons la puissance de la prière.

Exprimons de courtes prières tout au long de la journée, même si celle-ci est surchargée.

Tout devient beaucoup plus facile lorsque nous prions.

Dieu n’est jamais plus éloigné de nous que de la distance d’une prière.

Une intercession persévérante met en mouvement le bras de Dieu, lie les cœurs et affermit la communion.

La prière est un instrument puissant. “La fervente supplication du juste peut beaucoup” (Jacques 5. 16). Si elle n’ouvre pas forcément les portes des cellules de prison comme en Actes 12, elle ouvre pourtant les portes des cœurs de ceux qui y sont enfermés.

Là où mille obstacles nous séparent des hommes que nous aimerions aider, notre prière adressée à Dieu se fraie un passage.

La prière ne peut pas être séparée de la lecture de la Parole de Dieu. Elles s’appellent et s’activent l’une l’autre.

Si nous prions sans consulter la Parole de Dieu, ou si nous la lisons sans prier, la direction divine nous fera défaut.

Nous ne prions pas Dieu en premier lieu pour obtenir quelque chose de lui, mais pour avoir communion avec lui.

Il nous faut prier dans toutes nos circonstances, et ensuite ne pas oublier de rendre grâces.

L’action de grâces est une manifestation de la vie de Dieu. Elle est intimement liée à la prière. Elle peut s’exprimer avant même d’avoir obtenu une réponse à une demande dans la prière. Par elle, un chrétien exprime au Seigneur sa reconnaissance et son adoration.

Veillons “avec toute persévérance” dans la prière ; il nous est dit : “Priez sans cesse ; en toutes choses rendez grâces” (1 Thessaloniciens 5. 17, 18).