Le Seigneur est proche
Les lois d’Israël concernant l’alimentation ont des applications morales intéressantes pour nous aujourd’hui. Pour notre régime alimentaire, nous savons que “toute créature de Dieu est bonne, et il n’y en a aucune qui soit à rejeter, si on la prend avec action de grâces, étant sanctifiée par la parole de Dieu et par la prière” (1 Timothée 4. 4, 5). Mais moralement, nous pouvons apprendre ici ce qui est approprié ou non à notre régime spirituel – ce qui nourrit le cœur et l’esprit.
Rien d’abominable ne devrait occuper nos esprits, mais plutôt tout ce qui est vrai, honorable, juste, pur, digne d’être aimé, de bonne réputation – ce qui est digne de louange (voir Philippiens 4. 8).
Les fils d’Israël ne pouvaient manger que les animaux qui ruminaient, et qui avaient le pied complètement divisé en deux ongles.
La rumination des animaux nous fait penser à la méditation. Nous devrions nourrir notre âme de choses qui nous font “penser à ce qui est en haut”, là où est Christ (Colossiens 3. 1, 2). Cela nous rappelle également que nous devons étudier et méditer l’Écriture.
L’ongle fendu nous fait penser à la séparation dans notre marche. Nous devrions nous nourrir de choses qui ne sont pas mélangées avec les façons de voir du monde. Cela nous permettra de discerner clairement comment Dieu désire nous voir agir, et ainsi de marcher en suivant les traces de Christ (voir Romains 12. 2 ; 1 Pierre 2. 21).
Une bonne nourriture spirituelle nous fera méditer sur la personne de Christ et marcher “comme lui a marché” (1 Jean 2. 6).