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Le Seigneur est proche

Dieu est notre refuge et notre force, un secours dans les détresses, toujours facile à trouver. C’est pourquoi nous ne craindrons point, quand la terre serait transportée de sa place, et que les montagnes seraient remuées et jetées au cœur des mers.
Psaume 46. 1, 2
Grandes causes et grands effets

Si Dieu est notre refuge et notre force, et un secours dans les détresses, nous ne craindrons pas, même si des faits impressionnants, ou intimidants, se produisent. La foi authentique nous rend capables de voir Celui qui est invisible (voir Hébreux 11. 27). Si nous croyons aux grands faits dont nous parlons, alors il y aura de grands effets.

Nous pourrons notamment vivre dans la joie, malgré les épreuves : “Je me suis toujours proposé l’Éternel devant moi ; parce qu’il est à ma droite je ne serai pas ébranlé. C’est pourquoi mon cœur se réjouit” (Psaume 16. 8, 9) ; “L’Éternel est ma force et mon bouclier ; en lui mon cœur a eu sa confiance, et j’ai été secouru ; et mon cœur se réjouit, et je le célébrerai dans mon cantique” (Psaume 28. 7). La certitude de ce que Dieu est, et demeure, produit la paix et la joie dans le cœur, et conduit à la louange.

De même, l’assurance de notre salut repose sur la certitude de grands faits. Christ “a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification” (Romains 4. 25). “Ayant donc été justifiés sur la base de la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ” (Romains 5. 1). Rien ne peut changer le fait que Christ est notre grand souverain sacrificateur, et qu’il a “rendu parfaits à perpétuité ceux qui sont sanctifiés”. C’est pourquoi, nous avons “une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus” (Hébreux 10. 14, 19).

Ne parlons pas des grandes vérités de l’Écriture d’une manière machinale, sans les apprécier, sans nous les approprier et sans en vivre la réalité, de crainte de devenir “comme un cuivre qui résonne ou comme une cymbale retentissante” (1 Corinthiens 13. 1). Lisons de tels faits avec crainte, gardons-les précieusement dans nos cœurs et vivons-les. Sinon, ces vérités deviennent le genre de connaissance qui “enfle” (1 Corinthiens 8. 1). Puissions-nous dire comme le psalmiste : “Tes témoignages sont merveilleux ; c’est pourquoi mon âme les observe” (Psaume 119. 129).

d’après A.M. Behnam

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