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Le Seigneur est proche

Que dirons-nous donc devant tout cela ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? … Qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ ? Tribulation, détresse, persécution, famine, dénuement, péril, épée ?
Romains 8. 31, 35
L’amour du Christ (1)

Trois fois dans le Nouveau Testament, nous trouvons l’expression : “l’amour du Christ”. Nous l’avons d’abord ici, en Romains 8.

L’Épître aux Romains nous présente l’évangile de Dieu concernant son Fils (1. 1, 3). C’est la bonne nouvelle de Dieu pour un monde de pécheurs qui se sont égarés loin de lui. Depuis le début de l’épître jusqu’au verset 11 du chapitre 5, nous voyons comment Dieu s’est occupé de nos péchés – les pensées, les paroles, et les actes coupables que nous avons commis : Christ en a subi la condamnation à notre place, et ils sont ôtés.

Ensuite, jusqu’à la fin du chapitre 8, nous voyons comment Dieu s’est occupé du péché, la racine mauvaise en nous qui les produit : étant morts avec Christ, nous sommes morts au péché qui ne domine plus sur nous.

Quelle note triomphale nous présentent alors ces derniers versets du chapitre 8 ! Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ? Qui peut accuser ceux que Dieu a justifiés en vertu de l’œuvre de son Fils ? Christ est mort, mais il est ressuscité, et il est maintenant à la droite de Dieu, et là il prie pour nous (v. 34).

La question est posée : “Qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ ?”. La réponse, bien sûr, c’est que rien ne peut le faire. Nos péchés ne peuvent pas nous séparer de son amour, car il est mort pour eux. Les circonstances actuelles, si éprouvantes ou difficiles qu’elles puissent être, ne peuvent pas nous séparer de son amour. En fait, quand nous faisons l’expérience de son aide et de son soutien dans les difficultés, nous apprenons à mieux connaître son amour et ses soins fidèles envers nous.

Quelle que soit l’épreuve – la perte d’un emploi, de la santé, d’un être cher, ou même la perspective de la mort elle-même –, rien ne peut nous séparer de l’amour du Christ. “Jésus… ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’à la fin” (Jean 13. 1).

(à suivre)

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