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La Bonne Semence

On crie à cause de la multitude des oppressions, et on appelle au secours… Et on ne dit pas : Où est Dieu, mon créateur ?
Job 35. 9, 10
Seigneur !… mon gémissement ne t’est pas caché.
Psaume 38. 10
Cris de douleur ou cris d’appel ?

Attentats terroristes, catastrophes diverses, pandémies, guerres… Les hôpitaux ne désemplissent pas, la souffrance est partout.

Avons-nous été touchés récemment par un drame ? Si oui, comment réagissons-nous ? Gardons-nous notre souffrance pour nous-mêmes ? Nos cris de douleur s’adressent-ils uniquement à nous-mêmes et à notre entourage ?

Serions-nous de ceux qui souffrent sans élever un seul cri d’appel vers Dieu, sinon un cri d’accusation ? Dieu devrait-il dire de nous : “Ils n’ont pas crié à moi dans leur cœur” (Osée 7. 14) ? N’avons-nous pas, souvent, oublié, négligé ou ignoré l’unique remède à notre détresse ? Il vient de Dieu lui-même !

Satan nous persuade, à tort, mais parfois avec succès, que Dieu est lointain et indifférent à nos souffrances. En réalité, c’est Satan qui ne connaît ni amour, ni bonté, ni sentiment de miséricorde.

Pour Dieu, pas une seule de ses créatures ne souffre sans qu’il ait compassion. “Ses compassions sont sur toutes ses œuvres” (Psaume 145. 9). Elles sont “très grandes”, elles “ne cessent pas ; elles sont nouvelles chaque matin” (1 Chroniques 21. 13 ; Lamentations de Jérémie 3. 22, 23).

Il faut donc que nos cris de détresse prennent la forme de cris d’appel à lui ! Dieu entendra, il est “un secours dans les détresses” (Psaume 46. 2). Sa promesse est formelle : “Crie vers moi, et je te répondrai” (Jérémie 33. 3).

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