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La Bonne Semence

Il n’y a personne qui ait de la puissance sur le jour de la mort.
Ecclésiaste 8. 8
Précieuse, aux yeux de l’Éternel, est la mort de ses fidèles.
Psaume 116. 15
Belle mort ?

Après le décès brutal d’une personne de mon village, une voisine me dit : “C’est une belle mort, il n’a pas souffert… même si c’est difficile pour ceux qui restent”. Est-ce une belle mort, vraiment ?

La Bible nous dit qu’il y a deux manières de mourir :

– “Bienheureux les morts qui meurent dans le Seigneur” (Apocalypse 14. 13).

– “Si vous ne croyez pas que c’est moi, vous mourrez dans vos péchés”, dit Jésus (Jean 8. 24).

Si j’ai reçu Jésus comme Sauveur au cours de ma vie, une “belle mort” m’attend. Le croyant est “endormi par Jésus” (1 Thessaloniciens 4. 14). Que la mort soit subite ou non, précédée de souffrances ou non, l’important est de croire que la mort de Jésus Christ a “rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable” (Hébreux 2. 14). Le croyant sait que Christ est mort pour ses péchés (1 Corinthiens 15. 3) et qu’il ne viendra pas en jugement.

Pour celui qui meurt sans avoir recherché auprès de Dieu sa grâce et son pardon pour ses fautes, c’est bien différent. La mort reste alors pour lui “le salaire du péché” (Romains 6. 23). Il paraîtra devant le trône de jugement pour connaître ce que la Bible appelle “la seconde mort”, qui est un lieu de tourment éternel.

Dieu seul peut nous rassurer devant la mort. Jésus dit à chaque croyant : “Ne crains pas… j’ai été mort, et voici je suis vivant… ; et je tiens les clefs de la mort” (Apocalypse 1. 17, 18). “Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et quiconque vit et croit en moi, ne mourra pas, à jamais” (Jean 11. 25, 26).

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