Pour se moquer des chrétiens qui décident de réserver la journée de dimanche à Dieu, un agriculteur de l’Illinois, aux États-Unis, a écrit un jour au rédacteur en chef du journal local : “Cher monsieur, j’ai fait une expérience : je possède un champ de maïs et je l’ai labouré un dimanche. Je l’ai semé un dimanche. J’ai toujours travaillé dans ce champ le dimanche. Pour finir, j’ai fauché le champ et récolté le grain un dimanche. Et j’ai constaté qu’en octobre, j’avais récolté plus de céréales au mètre carré que tous mes voisins.”

Le rédacteur en chef n’était pas connu comme étant un chrétien, et le fermier avait supposé qu’il aurait la même attitude moqueuse que lui. Effectivement, la lettre fut publiée intégralement dans le numéro suivant du journal. Mais au-dessous, le commentaire de l’éditeur était bien mis en évidence : Dieu ne fait pas toujours ses comptes en octobre.

Pas toujours en octobre… Mais le jour viendra où notre “compte de vie” sera effectivement réglé avec Dieu, non pas sur le fait d’avoir ou non travaillé un dimanche, mais sur toute notre vie et sur l’appréciation que nous avons faite de son Fils Jésus Christ. Aujourd’hui nous pouvons encore l’accueillir comme notre Sauveur, et être réconciliés avec Dieu par son sacrifice à la croix.

“Il faut que nous soyons tous manifestés devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon les actions accomplies dans le corps, soit bien soit mal” (2 Corinthiens 5. 10).