Rescapée d’un attentat meurtrier, cette femme essaie de réapprendre à vivre au milieu d’un monde de plus en plus angoissant. Elle réalise que la vie ne tient qu’à un fil. Meurtre, accident, crise cardiaque… la mort peut nous surprendre subitement. Cela nous rappelle notre faiblesse, notre incapacité à tout gérer, maîtriser, prévoir, et aussi la fin de tout être humain. La Bible nous l’enseigne :

“Éternel ! fais-moi connaître ma fin, et la mesure de mes jours, ce qu’elle est ; je saurai combien je suis fragile” (Psaume 39. 5).

“L’homme,… ses jours sont comme l’herbe ; il fleurit comme la fleur des champs ; car le vent passe dessus, et elle n’est plus” (Psaume 103. 15, 16).

La conscience de cette fragilité nous fait alors regarder vers notre Créateur qui sait que nous sommes poussière. La mort est une conséquence directe de la désobéissance de l’homme à Dieu (Romains 5. 12), mais Dieu aime ses créatures et n’a pas voulu les laisser retourner à la poussière sans leur donner une espérance. À ceux qui croient en Jésus Christ, il offre la vie éternelle. Alors, apprenons à “compter nos jours”, et saisissons cette main tendue avant la fin de notre courte vie, avant qu’il ne soit trop tard !

Et si nous avons déjà mis notre confiance en Dieu, utilisons le laps de temps qui nous reste pour vivre pleinement notre foi chrétienne, être des témoins de Jésus et lui plaire. Quel réconfort de savoir aussi que si Dieu nous rappelle subitement à lui par la mort, c’est pour entrer dans la présence éternelle de notre bien-aimé Sauveur !