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La Bonne Semence

[Dieu] a fait toute chose belle en son temps ; et il a mis l’éternité dans leur cœur, sans que l’homme puisse comprendre, depuis le commencement jusqu’à la fin, l’œuvre que Dieu a faite.
Ecclésiaste 3. 11
Ô Dieu ! tu es mon Dieu ; je te cherche au point du jour ; mon âme a soif de toi.
Psaume 63. 2
Avons-nous soif de Dieu ?

Après des années de pratique, un médecin psychiatre déclarait : “Je suis convaincu que tous les êtres humains ont une soif innée de Dieu ; qu’il soit religieux ou non, l’homme a ce désir instinctif profond, qui semble constituer sa raison d’être.” L’apôtre Paul, de passage à Athènes, faisait un constat semblable : “En considérant les monuments de votre culte, j’ai même trouvé un autel avec cette inscription : Au dieu inconnu ! Celui donc que vous honorez sans le connaître, c’est celui que moi je vous annonce” (Actes 17. 23).

L’homme a été créé à l’image de Dieu. Il vivait en harmonie avec le Créateur, qui l’avait placé comme gérant de sa création. Malheureusement, cette heureuse relation a été rompue par la désobéissance de nos premiers parents. La souffrance et la mort ont fait leur entrée dans le monde. Mais le texte cité de l’Ecclésiaste montre qu’au fond du cœur humain subsiste une aspiration à quelque chose d’éternel, une soif d’absolu. Par son intelligence, l’homme cherche à comprendre le fonctionnement de cette nature qui le dépasse, mais il ne perçoit plus le Créateur.

L’être humain, pécheur, ne peut, par lui-même, s’approcher de Dieu. Il a fallu que Dieu s’approche de l’homme dans la personne de Jésus Christ. Par sa mort sur la croix, Jésus offre une vie nouvelle à celui qui croit. Elle nous apporte les réponses à nos soifs profondes : bonheur, paix, espérance. Saisissons sa main tendue : “Que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne gratuitement de l’eau de la vie” (Apocalypse 22. 17).

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