Un journaliste écrivait : “La Chine peut-elle faire la pluie et le beau temps ? C’est en tout cas ce que le pays essaie de faire dans plusieurs provinces le long du fleuve Yangtze, dans le centre du pays”. Face à la sécheresse, des avions “ensemencent” des nuages pour faciliter la pluie.

Est-il au pouvoir de l’homme de maîtriser la nature ? Un prophète disait, en parlant de la sécheresse : “Parmi les vaines idoles des nations, en est-il qui donnent la pluie ?… N’est-ce pas toi, Éternel ! notre Dieu ?” (Jérémie 14. 22).

Oui, il est le Créateur, le Maître de l’univers. Il l’a démontré “par ses bienfaits, en… donnant du ciel des pluies et des saisons fertiles” (Actes 14. 17). Il nous parle aussi quand il permet la sécheresse ou d’autres catastrophes. Dieu n’afflige pas pour punir mais pour que nos cœurs se tournent vers lui. Le prophète avertissait : “Je vous ai frappés… dans toute l’œuvre de vos mains, et aucun de vous n’est revenu à moi, dit l’Éternel : considérez-le bien” (Aggée 2. 17, 18). Par ces événements, Dieu veut nous parler. S’il les permet, c’est pour que nous recherchions sa volonté. N’essayons pas d’y échapper, mais trouvons-la par la lecture de la Bible et en priant humblement. C’est “chercher sa face” (verset du jour), sa présence, en nous laissant éclairer intérieurement par sa Parole. Alors, nous découvrirons ce en quoi nous devons “revenir”, dans nos pensées, nos attitudes, nos paroles, notre conduite. À ce travail intérieur, notre Dieu est très attentif : il écoute, pardonne et guérit.