De grand matin, le dimanche de Pâques, quelques femmes en deuil pénètrent dans le jardin de Joseph d’Arimathée. Elles s’approchent du tombeau dans lequel, le vendredi précédent, le corps du Seigneur Jésus a été pieusement déposé. Elles apportent des aromates pour l’embaumer. Elles désirent ainsi donner une dernière preuve de leur respect et de leur affection.

Mais, ô surprise ! la pierre massive qui bouchait l’ouverture du tombeau a été déplacée, et le corps de Jésus n’est plus là.

Tout à coup, deux anges éblouissants de lumière se trouvent avec elles et leur annoncent qu’il n’est plus ici, qu’il est ressuscité, qu’il est vivant (Luc 24. 1-8).

Prodigieuse nouvelle ! Le plus grand événement de l’histoire du monde vient de se produire : Christ est sorti de l’obscurité et de la mort, dans la lumière de ce glorieux matin. Il est ressuscité. Il a brisé nos chaînes morales, triomphé du pouvoir du diable – et tout cela dans la puissance d’une vie éternelle.

Le tombeau est vide ! Contemplons le Christ ressuscité, Jésus lui-même, le Vivant.

Le Seigneur Jésus Christ n’est ni une doctrine, ni un esprit, ni une idée, ni une abstraction, ni une influence. Il est le Christ vivant, dans le ciel à la droite de Dieu !