Une petite fille, en parlant de Dieu, insistait : “Moi, je voudrais bien le voir. Je voudrais voir Dieu comme quelqu’un avec un visage”. Ce qu’elle exprimait là, c’est tout simplement le désir murmuré ou énoncé par quantité d’humains depuis toujours. La Bible précise bien qu’aucun homme n’a jamais vu Dieu, ni ne pourra le voir, au sens littéral (Exode 33. 20 ; Jean 1. 18), car “Dieu est esprit” (Jean 4. 24 ; 1 Timothée 1. 17). À Moïse qui lui demandait la permission de le voir, Dieu répond : “Je te mettrai dans la fente du rocher, et je te couvrirai de ma main jusqu’à ce que je sois passé ; puis je retirerai ma main, et tu me verras par derrière ; mais ma face (mon visage) ne se verra pas” (Exode 33. 22, 23).

Mais ce Dieu invisible à l’œil humain, Être suprême, Créateur de toutes choses, a pu être vu sur la terre comme un homme : il a fait resplendir la connaissance de sa gloire sur le visage du Christ (2 Corinthiens 4. 6). Mystère impénétrable ! Un disciple de Jésus, Philippe, lui a dit : “Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit”. Jésus lui a répondu : “Celui qui m’a vu, a vu le Père… Ne crois-tu pas que moi je suis dans le Père, et que le Père est en moi ?” (Jean 14. 8-10).

Voici la bonne nouvelle : en Jésus, on a pu voir Dieu comme “quelqu’un avec un visage”. Et Dieu a pris soin de nous donner quatre évangiles, autant de témoignages précis et détaillés dans lesquels nous pouvons voir vivre Jésus, le Fils de Dieu, le Sauveur.

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