Plusieurs milliers de pages accessibles en format adapté aux lecteurs dyslexiques. Essayer maintenant
Bannière

Le Seigneur est proche

En vérité, en vérité, je vous dis : Le Fils ne peut rien faire de lui-même, sinon ce qu’il voit faire au Père ; car quoi que celui-ci fasse, le Fils aussi le fait de même.
Jean 5. 19
“En vérité, en vérité” : réalités éternelles

Les trois Personnes de la Déité sont une. Le Père, le Fils et le Saint Esprit sont un en nature, en pensée et en action. Les paroles de notre Seigneur le montrent d’une façon magnifique. Les Juifs étaient choqués parce que Jésus avait guéri un homme infirme le jour du sabbat. Quand ils le lui ont reproché, il a répondu : “Mon Père travaille jusqu’à maintenant, et moi je travaille” (v. 17). Ils étaient furieux, car ils comprenaient, à juste titre, que Jésus voulait dire qu’il était égal à Dieu. La seule chose qui semblait importante aux Juifs était la prétendue supériorité que leur donnait le sabbat, en tant que peuple de Dieu sur la terre. Ils ne voyaient pas la misère de la multitude d’infirmes couchés sous les cinq portiques du réservoir d’eau de Béthesda (v. 2, 3).

Le Seigneur, plein de grâce, se présente lui-même comme celui que le Père avait envoyé pour répondre aux besoins du pécheur. Il apporte une bénédiction plus grande que ce qu’avait connu Israël jusque-là. Jésus prononce ces paroles : “En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie” (v. 24). Quelle affirmation ! Jésus parle d’avoir la vie éternelle, de ne pas connaître le jugement, de passer de la mort à la vie, une vie que nous connaîtrons pleinement. Mais il y a une condition : il faut écouter sa parole et croire Celui qui l’a envoyé. Les Juifs étaient un peuple privilégié, mais ils risquaient de passer à côté de l’occasion offerte.

Plus loin, dans le même chapitre, le Seigneur dit : “L’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix” (v. 28). À ce moment-là, il ne sera plus question de rejeter les paroles du Seigneur. Les morts sortiront des tombeaux, soit pour la “résurrection de vie”, soit, mille ans plus tard, pour la “résurrection de jugement” (v. 29). Tout dépendra de la décision prise pendant leur vie sur terre : croire au Seigneur Jésus, ou le refuser ? Que celui qui lit ces lignes fasse le bon choix : croire au Seigneur pour être sauvé. Ne refusez pas ce don de Dieu !

S. Attwood

×