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La Bonne Semence

Le bien que je veux, je ne le pratique pas ; mais le mal que je ne veux pas, je le fais. Or si ce que je ne veux pas, moi, je le pratique, ce n’est plus moi qui l’accomplis, mais c’est le péché qui habite en moi.
Romains 7. 19, 20
Qui me délivrera de ce corps de mort ? – Je rends grâces à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur.
Romains 7. 24, 25
Suis-je libre ? (2)

Depuis la désobéissance au jardin d’Éden, l’humanité est esclave de Satan, du monde, et du mal qui est en chacun de nous. Jésus délivre de cet esclavage tous ceux qui croient en lui. Il les a rachetés de leur ancien maître au prix de sa vie. Pourtant ces croyants peuvent faire ce constat : “Le bien que je veux, je ne le pratique pas ; mais le mal que je ne veux pas, je le fais”. Je sais que certaines choses sont répréhensibles, me font du mal, en font à d’autres, et pourtant je ne peux pas m’empêcher de les faire. À l’inverse, j’aimerais agir pour le bien, progresser, aider les autres, et je n’y arrive pas ! Ces croyants connaissent le Seigneur, mais ils ne sont pas libérés de la tentation à faire le mal, et souvent ils succombent. Ils en sont malheureux et s’écrient : “Misérable homme que je suis, qui me délivrera de ce corps de mort ?”.

La réponse, c’est Jésus Christ ! Sur la croix, Jésus a été condamné à ma place. Il est mort. Je dois accepter que je suis “mort avec lui” (2 Timothée 2. 11), mais comme il est ressuscité et vivant, je le suis aussi avec lui. Il m’a communiqué sa vie par le Saint Esprit. Donc, tout ce dont j’ai besoin pour tenir le mal vaincu en moi, Jésus me l’a donné : une vie nouvelle, celle de Christ, et le Saint Esprit qui lui donne sa force. Tout croyant possède cela. Qu’est-ce qui fait la différence entre un croyant malheureux, souvent vaincu par ses convoitises, et celui qui vit libre, loin du mal et heureux de faire le bien ? Nous en parlerons samedi prochain.

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