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La Bonne Semence

On crie à cause de la multitude des oppressions, et on appelle au secours… et on ne dit pas : Où est Dieu, mon créateur, qui donne des chants de joie dans la nuit ? … Alors on crie, et il ne répond pas.
Job 35. 9-12
Le Dieu que je connais

“Un drame épouvantable ! Un de plus ! Quelle horreur ! Votre Dieu, que vous dites bon, aurait pourtant pu empêcher cela ! Et il ne l’a pas fait, comme il ne fait jamais rien de ce qu’on lui demande…”

C’est à croire que ce Dieu dont vous parlez est indifférent aux drames humains. Ou, pire, qu’il y prend plaisir. Mais ce Dieu-là… n’existe pas ! Le Dieu que je connais, c’est tout le contraire ! Il s’est révélé en Jésus Christ, qui est venu éclairer le monde par l’amour, le pardon, la réconciliation et la paix. Mais le monde l’a rejeté, lui et tout ce qu’il apportait, il l’a fait mourir, lui, “le Prince de la vie”.

La mort règne dans le monde. C’est elle qui frappa un jour, en Judée, alors que Jésus n’était pas là. Moment tragique ! “Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort”, lui disent chacune des sœurs du défunt à son arrivée. En pareil cas, on fait souvent des reproches à Dieu. Des voisins, venus consoler les sœurs, disent : “Celui-ci, qui a ouvert les yeux de l’aveugle, n’aurait-il pas pu faire aussi que cet homme ne meure pas ?” Jésus ne répond pas directement à l’argument. Il affirme : “Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra”. Il ajoute : “Crois-tu cela ?” (Jean 11. 21, 37, 25-27).

Pensons-nous être plus sages que Dieu en prétendant lui dire ce qu’il devrait faire, ou est-ce que nous lui faisons confiance ? Choisissons plutôt de lui faire confiance et d’avancer avec espérance et avec foi !

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