Les grandes œuvres de Dieu et ses pensées très profondes sont les sujets inépuisables de l’adoration du racheté (verset 6 ; comparer Psaume 40. 6). Mais l’homme qui ne reconnaît pas le créateur dans ses œuvres est, aux yeux de Dieu, stupide et insensé (verset 7). Le méchant et le juste fleurissent l’un et l’autre (versets 8 et 14). Mais seul le second porte du fruit (verset 15). L’herbe pousse et fleurit en une saison, puis elle sèche et elle est fauchée y compris sa fleur (verset 8). Tel est le sort des méchants ; ils périssent (verset 10 ; 1 Pierre 1. 24, 25). Quant au juste, il ressemble au palmier ou au cèdre du Liban (versets 13, 14). Que de temps il faut pour amener ces arbres à leur pleine stature ! Mais les justes ont place dans les parvis du temple de Dieu et y prospèrent à sa gloire.
Le Psaume 93 nous rappelle que la puissance de Dieu est plus ancienne (Il est « dès l’éternité ») et plus grande que le pouvoir de l’ennemi (versets 3, 4). Les flots nous parlent de l’agitation du monde (Ésaïe 57. 20 ; comparer Psaume 89. 10). On peut se fier à sa Parole : ses témoignages sont très sûrs (verset 5).
Enfin « la sainteté sied à sa maison ». Nous ne supportons chez nous ni saleté ni désordre. Comprenons qu’à plus forte raison le Dieu saint ne puisse tolérer le péché dans sa maison qui est aujourd’hui l’Assemblée lire 2 Corinthiens 6. 16….