Dieu nous présente ici les quelques fidèles, humbles et cachés qui allaient avoir l’honneur d’accueillir son Fils à sa venue ici-bas. Ils sont son « trésor particulier » ; leurs noms sont consignés dans son « livre de souvenir » et l’Évangile nous en fait connaître quelques-uns : Joseph et Marie, Zacharie, Élisabeth, Siméon, Anne… Faisons-nous partie aujourd’hui de ceux qui craignent le Seigneur, s’entretiennent de lui et attendent son retour ?
Plus tard, pendant la grande tribulation, il y aura un résidu craignant le nom de l’Éternel (3. 20 ; Apocalypse 12. 17). Pour eux se lèvera le soleil de justice. L’activité des ténèbres prendra fin, les orgueilleux et les méchants seront consumés (3. 15, 19-20). C’est sur le mot de malédiction que s’achève l’Ancien Testament, autrement dit l’histoire entièrement décevante du premier Adam. Sa misère sans remède, aboutissant au malheur éternel, a été définitivement démontrée. En sommes-nous personnellement convaincus dans notre conscience ? Alors, dès la première page du Nouveau Testament, nous apprenons à connaître le Nom du second homme, Jésus, en qui Dieu a trouvé son plaisir, en qui nous, nous trouvons le salut et la bénédiction.