|| Avaler un liquide • Jean le Baptiseur ne devait boire ni vin ni cervoise (
Luc 1. 15). Contrairement à Jean, le Fils de l’homme est venu mangeant et buvant (
Matthieu 11. 18, 19 ;
Luc 7. 33, 34). On reprochait à Jésus de manger et boire avec les publicains et les pécheurs (
Marc 2. 16 ;
Luc 5. 30), ainsi qu’à ses disciples (
Luc 5. 33). Jésus dit de ne pas être en souci de ce que nous mangerons ou boirons (
Matthieu 6. 25, 31 ;
Luc 12. 29). Le terme est employé fréquemment lors de la rencontre de Jésus et de la Samaritaine au puits de Sichar (
Jean 4. 8-10, 12-14). Il n’y a personne qui ait bu du vin vieux, qui veuille aussitôt du nouveau (
Luc 5. 39). Jésus demande à ses disciples s’ils pouvaient boire la coupe que lui boirait (
Matthieu 20. 22 (2x), 23 ;
Marc 10. 38 (2x), 39 (2x)). Celui qui boit le sang du Fils de l’homme a la vie en lui-même (
Jean 6. 53), a la vie éternelle (
v. 54), demeure en Jésus (
v. 56). Celui qui a soif doit venir à Jésus et boire (
Jean 7. 37). Le terme est employé lors du dernier repas de Jésus avant sa mort (
Matthieu 26. 27, 29 (2x) ;
Marc 14. 23, 25 (2x) ;
Luc 22. 18) et à Gethsémané (
Matthieu 26. 42 ;
Jean 18. 11). On donna du vinaigre à boire à Jésus sur la croix et il n’en voulut pas (
Matthieu 27. 34 (2x)) ; Marc parle de vin mixtionné de myrrhe (
15. 23). Toutes les fois que les croyants boivent la coupe, ils le font en mémoire du Seigneur Jésus (
1 Corinthiens 11. 25-29).
Autres réf. : Matthieu 24. 38, 49 ;
Marc 16. 18 ;
Luc 10. 7 ;
12. 19, 45 ;
13. 26 ;
17. 8 (2x), 27, 28 ;
22. 30 ;
Actes 9. 9 ;
23. 12, 21 ;
Romains 14. 21 ;
1 Corinthiens 9. 4 ;
10. 4 (2x), 7, 21, 31 ;
11. 22 ;
15. 32 ;
Hébreux 6. 7 ;
Apocalypse 14. 10 ;
16. 6 ;
18. 3.