|| Aliment, nourriture solide • La viande de Jésus était de faire la volonté de celui qui l’avait envoyé, et d’accomplir son œuvre (Jean 4. 34). Si, à cause d’une viande, notre frère est attristé, nous ne marchons plus selon l’amour ; nous ne devons pas détruire par notre viande celui pour lequel Christ est mort (Romains 14. 15 (2x)). Paul dit de ne pas détruire l’œuvre de Dieu à cause d’une viande (Romains 14. 20). Paul avait donné du lait à boire aux Corinthiens, non pas de la viande (1 Corinthiens 3. 2). Les viandes sont pour l’estomac, et l’estomac pour les viandes (1 Corinthiens 6. 13 (2x)). La viande ne nous recommande pas à Dieu (1 Corinthiens 8. 8). Si la viande était une occasion de chute pour son frère, Paul ne mangerait pas de chair (1 Corinthiens 8. 13). Tous les Israélites ont mangé la même viande spirituelle dans le désert (1 Corinthiens 10. 3). Paul parle de ceux qui prescriraient de s’abstenir des viandes que Dieu a créées pour être prises (litt. : pour la consommation : éis <G1519><C1533> métalêpsin <G3336><C3241>) (1 Timothée 4. 3). Dans l’A.T., le culte consistait seulement en viandes, en breuvages, en diverses ablutions (Hébreux 9. 10). Il est bon que le cœur soit affermi par la grâce, non par les viandes (Hébreux 13. 9). Autre réf. : Marc 7. 19.

|| Ce qui est mangé, nourriture • Jésus avait de la viande à manger que ses disciples ne connaissaient pas (Jean 4. 32). Il dit de travailler, non pas pour la viande qui périt, mais pour la viande qui demeure jusque dans la vie éternelle (Jean 6. 27 (2x)).