|| Ce qui permet d’entrer et de sortir • Le mot, en plus de son sens litt. (p. ex.
Jean 20. 19 ;
Actes 12. 13), désigne aussi Jésus Christ par lequel on entre pour avoir le salut (
Jean 10. 9). Il est celui qui frappe à la porte du cœur d’une personne pour entrer en apportant le salut, et avoir communion avec elle (
Apocalypse 3. 20 (2x)). Dieu a ouvert aux nations la porte de la foi (
Actes 14. 27). Paul parle d’une porte grande et efficace qui lui était ouverte pour la prédication de l’évangile (
1 Corinthiens 16. 9 ;
2 Corinthiens 2. 12), et priait qu’une telle porte lui soit ouverte (
Colossiens 4. 3). Mais en
Jacques 5. 9, Dieu est le Juge qui se tient à la porte, prêt à juger. La porte fermée, dans la parabole des dix vierges (
Matthieu 25. 10), parle de la fin de la période de la grâce à la venue de Christ.
Autres réf. : Matthieu 6. 6 ;
24. 33 ;
27. 60 ;
Marc 1. 33 ;
2. 2 ;
11. 4 ;
13. 29 ;
15. 46 ;
16. 3 ;
Luc 11. 7 ;
13. 25 (2x) ;
Jean 10. 1, 2, 7 ;
18. 16 ;
20. 19, 26 ;
Actes 3. 2 ;
5. 9, 19, 23 ;
12. 6 ;
16. 26, 27 ;
21. 30 ;
Apocalypse 3. 8 ;
4. 1.