1οὐαί (
ouaï[interj.])
<G3759><C3656> (47x)|| Interj. employée surtout pour dénoncer une infortune, une calamité • Le Seigneur s’en sert contre Chorazin et Bethsaïda (Matthieu 11. 21 (2x) ; Luc 10. 13 (2x)), le monde et l’homme par qui l’occasion de chute arrive (Matthieu 18. 7 (2x)), les scribes et les pharisiens (Matthieu 23. 13, 15, 16, 23, 25, 27, 29), les pharisiens (Luc 11. 42, 44), les docteurs de la Loi (Luc 11. 46, 47, 52), Judas (Matthieu 26. 24 ; Marc 14. 21 ; Luc 22. 22), les riches (Luc 6. 24), ceux qui sont rassasiés et ceux qui rient maintenant (Luc 6. 25 (2x)), ceux dont les hommes disent du bien (Luc 6. 26), celui par qui les scandales arrivent (Luc 17. 1). Paul disait « malheur » à lui s’il n’évangélisait pas (1 Corinthiens 9. 16). Jude emploie cette expression (Jude 11). Un aigle dit « malheur » à ceux qui habitent sur la terre (Apocalypse 8. 13 (3x)). Une grande voix dit : Malheur à la terre et à la mer (Apocalypse 12. 12). Le Seigneur s’en sert pour plaindre les femmes enceintes durant la grande tribulation (Matthieu 24. 19 ; Marc 13. 17 ; Luc 21. 23). Le terme est employé comme un nom en Apocalypse 9. 12 (2x) et 11. 14 (2x).