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Dictionnaire du Nouveau Testament

LIRE

ἀναγινώσκω (anaguinôskô[verbe] ; de ana : encore, et guinôskô : savoir) <G314><C0320> (36x)
|| Parcourir un texte avec les yeux afin d’en prendre connaissance • Jésus emploie ce terme au sujet de l’A.T. (Matthieu 12. 3, 5 ; 19. 4 ; 21. 16, 42 ; 22. 31 ; Marc 2. 25 ; 12. 10, 26 ; Luc 6. 3 ; 10. 26) et de la grande tribulation (Matthieu 24. 15 ; Marc 13. 14). Jésus se leva pour lire dans la synagogue de Nazareth (Luc 4. 16). L’Éthiopien lisait le prophète Ésaïe (Actes 8. 28, 30, 32). Les prophètes se lisent chaque sabbat (Actes 13. 27), de même que Moïse (15. 21). On lut la lettre des apôtres et des anciens à Antioche (Actes 15. 31). Le gouverneur lut la lettre au sujet de Paul (Actes 23. 34). Les Corinthiens étaient la lettre de Paul connue et lue de tous (2 Corinthiens 3. 2). Lorsque Moïse est lu, le voile demeure (2 Corinthiens 3. 15). On pouvait lire ce que Paul avait déjà écrit concernant le mystère (Éphésiens 3. 4). Quand les Colossiens auraient lu la lettre de Paul, ils devaient faire qu’elle soit lue aussi dans l’assemblée des Laodicéens et lire celle qui viendrait de Laodicée (Colossiens 4. 16 (3x)). La lettre aux Thessaloniciens devait être lue à tous les saints (1 Thessaloniciens 5. 27). Bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie (Apocalypse 1. 3).
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