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Le Seigneur est proche

Ainsi dit l’Éternel : Je me souviens de toi, de la grâce de ta jeunesse, de l’amour de tes fiançailles, quand tu marchais après moi.
Jérémie 2. 2
L’amour de Dieu pour celui qui s’est éloigné

Avez-vous actuellement le sentiment pénible que votre amour pour le Seigneur n’est plus ce qu’il était ? Sa proximité et la communion avec lui ne sont-elles que des souvenirs ? Un péché que vous vous êtes permis, ou quelque autre objet, se sont-ils glissés dans votre cœur et vous ont-ils amené à renier et abandonner votre premier amour ? Alors, vous vous êtes éloigné(e).

N’en concluez pas qu’il ne vous reste que l’amertume et un éloignement toujours plus triste et sans espoir. Non ! Le Seigneur se souvient de la grâce de votre jeunesse ! Il se souvient de ce premier engagement d’amour, qui a maintenant étrangement diminué. Il dit : “Revenez, fils infidèles ; je guérirai vos infidélités…” (Jérémie 3. 22).

Avec quelle tendresse et quel amour Dieu s’occupe de ses enfants rebelles ! Il ne trouve pas son plaisir à rappeler leur péché. Il préfère plutôt faire ressortir d’un passé oublié quelque chose qui soit digne de louange. Par exemple, il parle de Lot comme de ce “juste Lot” (2 Pierre 2. 7), et quand il rencontre Pierre au bord de la mer de Tibériade, il ne rappelle pas son manque de fidélité, mais l’appelle plutôt à un service d’amour renouvelé (Jean 21).

Il en est de même pour nous. Dieu désire aussi nous pardonner quelque longue période de froideur et d’éloignement après notre promesse d’obéir. Oui, prenons courage ! Que nos pensées se reportent à ces moments heureux où nous aurions pu dire comme Job : “sa clarté luisait sur ma tête… dans les ténèbres je marchais à sa lumière” (Job 29. 3). C’est comme si Dieu disait : Bien que tu m’aies banni de tes pensées, je ne t’ai pas banni des miennes – “Je me souviens… de la grâce de ta jeunesse”.

J.R. Macduff
Si ton amour pour le Maître S’est refroidi en chemin,
Viens à lui, viens reconnaître Les causes de ce déclin.
Lève les yeux vers le Maître, Il entend ta voix des cieux ;
Il remplira tout ton être De la paix qui vient de Dieu.

Si les soucis de la vie Ont altéré ton bonheur,
Reviens à Jésus et prie, Épanche vers lui ton cœur.

Aux pieds de celui qui t’aime Dépose enfin ton tourment ;
Jésus Christ reste le même : Ne crains pas, crois seulement !

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