Le Seigneur est proche
Je ne suis pas un adepte de la culture pop, mais récemment les paroles d’une chanson ont attiré mon attention : Je suis sûr que je serais heureux de recevoir de bonnes nouvelles aujourd’hui. – J’ai écouté plus attentivement : le chanteur se lamentait sur les guerres, les émeutes, les souffrances humaines et autres rappels sinistres de la vie sur la planète Terre. J’ai été frappé par la tristesse de cette chanson. Elle véhiculait des désirs, mais pas d’espoir ; elle signalait des problèmes, mais ne donnait pas de solutions.
De tels désirs expliquent peut-être l’immense popularité de la période de Noël. Au milieu de toute l’activité et de la célébration de Noël, on entend parfois une note d’espoir sous-jacente. Il existe un vague sentiment que la réponse divine à nos problèmes est arrivée à Bethléem, il y a plus de 2000 ans. Malheureusement, cette note d’espoir est le plus souvent noyée dans la confusion et l’exploitation commerciale de cette période. Et même quand on perçoit cet espoir, la plupart des gens veulent bien de l’Enfant dans la crèche, mais pas de l’Homme sur la croix.
Une deuxième chose m’a frappé :
En réalité, le monde n’a pas d’espoir, mais nous, nous en avons un ! Chantons-le haut et fort, pendant que nous en avons encore l’occasion : Je suis sûr que je peux vous apporter une bonne nouvelle aujourd’hui.