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La Bonne Semence

Moi, je sais que mon rédempteur est vivant, et que, le dernier, il sera debout sur la terre… Et mes yeux le verront, et non un autre.
Job 19. 25, 27
Mon rédempteur est vivant (1)

Job avait tout perdu : ses richesses, sa famille, sa santé. “Ayez pitié de moi, ayez pitié de moi, vous mes amis !” Après ces paroles poignantes, il exprime aussi un souhait : “Oh ! si seulement mes paroles étaient écrites, … gravées dans le roc pour toujours !” (Job 19. 21-24). Sa prière a été exaucée : des milliers d’années plus tard, nous lisons encore ses paroles.

Mais qu’est-ce que Job voulait écrire à tout jamais ? Ses souffrances ? Peut-être, mais aussi sa certitude : “Moi, je sais que mon rédempteur est vivant !” Job avait une foi qui lui permettait de voir et de savoir que, dans le ciel, son rédempteur, celui qui avait sauvé son âme, était vivant. Il voyait même encore plus loin : “Le dernier, dit-il, il sera debout sur la terre” (voir aussi Ésaïe 48. 12). Job, personnage de l’Ancien Testament, ne l’a pas connu, mais aujourd’hui nous savons que le rédempteur est Jésus Christ. Il est venu sur la terre, y a marché, et il y reviendra pour établir son règne (Zacharie 14. 4).

Job avait aussi demandé : “Si un homme meurt, revivra-t-il ?” (Job 14. 14). Il répond lui-même à sa question : “Après ma peau, ceci sera détruit”, ce qui désigne la mort. Mais il ajoute : “De ma chair je verrai Dieu”, ce qui implique qu’il ressuscitera. Et il insiste sur le fait qu’il s’agit d’une rencontre personnelle : “Je le verrai, moi, pour moi-même” (Job 19. 26). Cette assurance lui donne la sérénité et les forces nécessaires pour surmonter les épreuves qui l’accablent.

(suite les 2 prochains vendredis)

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