“Interpellé par le changement positif que j’avais constaté sur mon épouse après sa conversion au Christ, j’ai passé deux ans à enquêter sur la pertinence de la foi chrétienne, en m’appuyant sur ma formation juridique et mon expérience de journaliste. Si Jésus était un imposteur, la foi chrétienne ne m’intéressait pas. Mais comme les preuves en faveur de la Bible s’accumulaient, j’en suis arrivé à m’interroger : “Si Dieu existe vraiment, pourquoi est-ce que je ne cherche pas à le rencontrer ?”

Un dimanche après-midi, seul dans ma chambre, j’ai achevé de faire le compte des preuves et des arguments que j’avais trouvés pour et contre la foi chrétienne, et je suis arrivé à un verdict en faveur du Christ.

Mystérieusement, au moment où j’ai réalisé que Dieu est vivant, j’ai ressenti profondément la souillure de mon cœur. Ma vie avait été ravagée par l’arrogance, l’alcool, la débauche, le mépris, et l’idolâtrie de moi-même.

J’aurais voulu partir en courant, et fuir la lumière de Dieu, fuir cette terrible conviction de péché. Ce qui m’a arrêté, c’est cette parole de l’évangile, entendue auparavant : “À tous ceux qui l’ont reçu (Jésus, la lumière), il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Ô Dieu, ai-je prié, je suis submergé par mes péchés. Purifie-moi, je te prie, change-moi, conduis-moi, emploie-moi.

Dieu a répondu à ma prière. Il m’a donné son pardon, et m’a ouvert des portes pour le servir, me conduisant sur des chemins que je n’aurais jamais imaginés.”