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La Bonne Semence

Là où le péché abondait, la grâce a surabondé.
Romains 5. 20
Le mal radical, le bien absolu

François Cheng, écrivain et académicien depuis 2002, raconte comment il a été émerveillé par la beauté des paysages qu’il a vus en Chine. En même temps il dit son effroi devant les horreurs du massacre de Nankin (1937). Comment le mal radical peut-il côtoyer une telle beauté ? Il a trouvé la solution à ce mystère quand il a rencontré Jésus. Il écrit : “Jésus a affronté le mal radical, et dans le même temps, il a montré qu’existe le bien absolu, l’amour absolu. Il est passé par cette mort indispensable, parce que c’était la seule manière justement de vaincre la mort, en offrant une voie ouverte à la destinée humaine… Dans la continuité du temps humain, une coupure s’est effectivement faite : avant lui, après lui.”

La Bible nous dit : “Jésus… a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance, car Dieu était avec lui… Et ils l’ont fait mourir, le pendant au bois” (Actes 10. 38, 39). La vie de Jésus avait été la révélation de l’amour de Dieu envers sa créature. Il avait guéri les malades, nourri les foules, répondu par la grâce à tous les besoins de ceux qu’il rencontrait. Mais l’homme a montré l’état mauvais de son cœur en lui faisant subir sa cruauté. À la croix, tout est poussé à l’extrême. D’un côté l’amour suprême, le bien absolu, de l’autre côté la haine sans motif, le mal radical. La prise de conscience de cela est le premier pas vers le salut offert par Dieu à l’homme pécheur et coupable.

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