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Le Seigneur est proche

Tu garderas dans une paix parfaite l’esprit qui s’appuie sur toi, car il se confie en toi. Confiez-vous en l’Éternel, à tout jamais ; car en Jah, Jéhovah, est le rocher des siècles.
Ésaïe 26. 3, 4
Paix parfaite

Une paix parfaite ! Pourquoi nous manque-t-elle si souvent, bien que nous la désirions vraiment ? Notre adversaire, le diable, réussit très bien à prendre le contrôle de nos pensées et, une fois pris dans ses filets, nous n’avons plus la paix, essentielle pour une vie chrétienne heureuse. Bien plus, nous blâmons généralement les autres ou nos circonstances, en leur reprochant de nous dérober cette paix. Nous n’arrivons pas à dormir la nuit parce que notre esprit s’agite, nos pensées sont troublées par beaucoup de choses ; et le matin, tout est encore présent, nous ressentons comme un grand poids.

Mais qu’en est-il de cette promesse qu’on trouve dans le verset du jour ? “Tu garderas dans une paix parfaite…”. Pourquoi le Seigneur nous la refuse-t-il ? Lisons la suite du verset : cette paix est pour “l’esprit qui s’appuie sur toi”. Il arrive que nous laissions l’angoisse et bien d’autres choses remplir nos pensées, sans nous confier dans le Seigneur. La paix parfaite ne vient que lorsque nous parlons au Seigneur de nos difficultés et attendons ses réponses dans le calme et la confiance qu’il a entendu notre prière.

Le Seigneur est pour nous l’exemple parfait. À chaque pas, il rencontrait l’opposition, l’incrédulité, la jalousie, la méchanceté. Il ressentait profondément l’esclavage et la détresse où était tombée toute la race humaine à cause du péché. Il dit à ses disciples remplis de crainte : “Que votre cœur ne soit pas troublé ; vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi” (Jean 14. 1). À nous, il dit maintenant : Confiez-vous simplement en moi. Je prendrai soin de vous et je vous prendrai pour être avec moi dans la maison de mon Père. Là, il n’y a rien qui trouble.

Actuellement, alors qu’il est absent, il nous donne sa paix – la même paix qu’il trouvait dans la communion avec son Père quand il marchait sur la terre.

Il demeure à toujours, il est le “rocher des siècles”. Que, puisant en lui une force toujours nouvelle, nous ayons toujours cette paix parfaite.

d’après J. Redekop

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