L’article suivant a paru dans la rubrique “Messages personnels” d’un quotidien :

“Chère famille, je suis ennuyé de ce qui s’est passé. Je regrette ce que j’ai fait et je désire vous faire mes excuses. S’il vous plaît, pardonnez-moi et n’ayez pas peur de moi. Appelez-moi, s’il vous plaît, j’ai besoin de vous ; je vous aime. Votre X”.

Une tragédie familiale s’était certainement déroulée dans le contexte que décrit le verset ci-dessus : égoïsme, colère, disputes, violence. Est-ce un fait unique ? Non, malheureusement ! Les médias rapportent constamment des faits semblables. La violence éclate à l’école, dans la rue, partout où des gens vivent ensemble. Même dans le cercle étroit de la famille, là où l’affection et la sécurité devraient régner, la haine et la violence sont trop souvent présentes.

Peut-il en être autrement dans un monde qui ne veut pas de Dieu ? Ni les lois ni les efforts dans le domaine social ne peuvent y apporter de vrai remède. Seul un changement radical du cœur, la vie nouvelle donnée par Dieu, peut produire les conditions pour que la vie commune soit possible sans hostilité ni peur.

“Les œuvres de la chair sont évidentes ; ce sont : la fornication, l’impureté, l’impudicité, l’idolâtrie, la magie, les haines, les querelles, les jalousies, les colères, les rivalités, les divisions, les sectes, les envies, les meurtres, les ivrogneries, les orgies, et tout ce qui y ressemble… Mais le fruit de l’Esprit est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi” (Galates 5. 19-23).